mardi 14 décembre 2010

Le Cloch'Art (ou Pique-assaut/Pique-assiette.)
Extrait de "Mémoire d'un outre-temps", Jean Louis J., 1932

lundi 13 décembre 2010

Extrait de "Un vent dû", Jean Louis J., 1936
Inspiré par l'amuse Ode-Île Mince, attends.


Extrait de "Mémoire d'un outre-temps", Jean Louis J., 1932

Cette œuvre fut, d'après un des rares témoignages de Jean-Louis Jacquefils,
une reconstitution d'un souvenir son enfance, lorsque ses deux grands maitres penseurs , Gérard Groux et Michel Dubrin brisèrent leur relations, d'après J. L, pour un conflit de pomme de terre. Si les éléments restes flous, J.L. affirme que la reproduction est exacte et qu'ils n'était pas en digestion de stupéfiant lors de son assistance à cette scène hystérique.

Texte Nimportkoïste

- Mon fils. Un jour, tu verras, tu comprendras. Tu te rendras compte à quel point ton rôle compte pour nous. Et combien il est dur d'y faire face. Mais tu dois tenir, mon fils. Tu le dois, car nous sommes tous au même trombonne, actuellement. Je te prie de te comprendre.
C'est ainsi que Jean sû qu'il était fils. Seulement, rien n'aurait pu l'aider mieux à comprendre qu'une fermentation maison. Il se décida alors à écouter les paroles du sage tenant lieu de père, et de s'en tenir à sa volonté propre.
- Bien, mon fils , continua son père. Tu peux vaquer à tes occupations, à présent.
Et Jean se leva de sa chaise. Jamais son esprit turbulent ne l'avait porté aussi loin.

Lorsqu'il sortit de chez lui, le jeune homme croisa Madrid, son fidèle Maître chien.
- Ah, Jean ! l'interpella-t-il. Alors, ça y'est, le grand jour? Tu es fils, dorénavant.
- Faut-il bien croire ce que nous en pensâmes... répondit murmurement Jean.
- T'en fais pas, va !
Et Jean alla. Il en était ainsi depuis qu'il était fils.

Jean marcha dans la ruelle sombrement éclairée de la nuit. Lorsqu'il leva les yeux au ciel, il apperçut alors une once de teinte verdâtre parsemer le domaine céleste.
- Le ciel est rouge. Cela signifie que beaucoup de sang à coulé cette nuit.
Et il se mit à courir.

Ne sachant où aller, Jean vaggabondait d'esprit en idée. Depuis qu'il était fils, l'ouverture s'offrait à lui. Mais, brusquement, le jeune homme eut une pensée mélancolique.
- Je vais aller me repêtre de ma fameuse journée... songea-t-il.
Jean rageait. Au plus profond de lui même.

Jean errait alors sans voix, sans voie, sans voir. C'était la dure labbeur du fils. Calsomnie et Couardises ne cessaient de se mêler à sa route semée d'embûche.

Par dessus le marché, Jean se balada sans avoir idée de comment et alors il était installé sans autres éllucubrations. Jean le savais.

Mais avant tout, il faut le savoir. Il faut le ressentir. Rien ne serais désormais identique.

Jean était fils.




Babou Boubou, "Le sang du fils", 2010.

Texte Nimportkoïste

"Pourquoi? Parceque! I forget you = je t'oublie... Mais pourquoi? C'est totalement innaproprié alors que nous ne résidons qu'en être humains sur cette maudite terre! Ce n'est queeejhfg"

Bien que cela lui aurait tenu à coeur, Jean aurait apprécié terminer d'écrire ses pensées en contrepartie de la deuxième moitié de son âme, déjà depuis longtemps perdu. Cependant il n'en put être pour bien longtemps encore être ainsi. Pourquoi lui? Pourquoi pas Hyves, son frère décédé à l'âge de la rémunescence de pensée? Rien ne put l'éclairer sur ces dernières approfondices fécales... seule quelques monceaux de force de çi, de là... Que pouvait encore faire Jean?

Une ombre s'avançait pourtant déjà dans la pénombre intense de la "midnight full", que Jean n'eut pas eu le temps de fonder son propre partit d'association d'idées. Alors il en eu dautres de plus fulgurantes encore. Seulement il lui faudrait du temps pour les peaufiner assez afin d'en exploiter pleinement les capacités intrasèques. Mais alors, que lui restait-il encore à faire?

Sans savoir pourquoi, Jean avança dans la ruelle de couleur bleuté en passation de foncage obscur. Il n'en avait pas moins réfléchi à ses propres intentions qu'il se retrouva devant sa conscience pleine, et bourrée de sentiments inverses à ce qu'il ressentait actuellement en étant pourtant dans un état second. Et donc?

Jean se mit à courir, tel un Hibou volant au vent de la pleinitude de santé lunaire. Seulement, autre chose que les restes de son interscide courbé veint perturber sa traînée : Son immondice maléfique provenant directement des profondeurs de la totale réjouissance physique.

AAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH !!!!

JEAN EST MARRE ! IL N'ETAIT RIEN D'AUTRE DEPUIS SON DECES D'AVANT SA DERNIERE EXISTENCE SOCIALE EN CE MONDE !

FIN FINALE !


* Ce texte résume les actes passés de Jean Jacques Forus, ancien prédescesseur de la fondation sectoriale de culte envers notre déesse à tous : Richnou. *






Babou boubou, "Page de la Bible Richnou : Jean Jacques Forus", 2009-2010.

dimanche 12 décembre 2010


Extrait de "Un vent dû", Jean Louis J., 1936
(Cette œuvre fut malheureusement amalgamé à la
propagande Nase-Ï, mais l'on ne comprit jamais pourquoi.)

Poème Nimportkoïste

Précurseur, ainsi soit-tu
Ta personne penses en la grande vertue,
Mais autre n'être que le chêne en dérision.
Alors, de mes larmes, tu sèche ton front.
...A jamais, à toujours,
Nous devions de notre destin lier nos unions.
Mais un malendrin préféra briser le sermon.
C'est donc ainsi que je préfère en triste minoi,
Et de mon ton le plus clair, m'en va.

Comprendras-tu la prospérité, Boubi,
Qu'à chaques fois nous finierons comme çi.
Alors, garde espoir, et ne te laisses pas garde baisser.
Pour l'infini nous ne cesserons, ensemble, de prospérer.

Gérard Groux.


Poème rédigé par Babou Boubou ( sous le nom de "Gérard Groux" ), destiné à son frère Boubi Boubou.

Oeuvre Nimportkoïste



"OUI MAIS J'AI APPRIS !", Gérard Groux, en réponse à l'oeuvre "Nous étions frère" de Michel Dubrin.

samedi 11 décembre 2010

Oeuvre Nimportkoïste



"Auto-portrait d'antan", Gérard Groux, 1932

"les moules sa chie des manifestes", oeuvre Nimportkoïste, 2010, Le Charpenteur


Extrait de "Un nez-chèque", Jean Louis J., 1932

Extrait de "Mémoire d'un outre-temps", Jean Louis J., 1932

Rupture et appréciation



 Rupture et appréciation 
(La distance est un présupposer de l'art que l'éclairage rendit obsolète)
2010

Oeuvre Nimportkoïste



"Le piège de la tolérance"
, Babou Boubou, 2010.

"Il représente la frustration face au désarroi inadaptable des événements incontournables. J'ai pensé que l'accentuation du bleu permettrai de faire un rapprochement au sentiment de prospérité, tout en conservant cet étrange effet donné par le rose.
Ce tableau est une manière pour moi de retranscrire la situation actuelle du monde, sous forme d'adaptabilité conceptuelle."
Babou Boubou.

L'affirmation sans réponse

Oui.

Oeuvre primitive

Nous avons réussi a retrouver quelques oeuvres fondatrices du mouvement. Malheureusement aujourd'hui détruite.



"Oeuvre Magnifique",
  M.Ger, 2010.



















"Volume sans intérêt"
YOM, 2010

Premier partage !

Dixit la composition de mon enfantement !
La Création eu lieu.

"L'art Serra ou ne sera pas!"
Tel furent les mots du créateur partageant son savoir sur le trône.

"Chérie y a plus de PQ, quand on fait pas les course c'est normale ! "
Tel fut la réponse de Madame Dieu.