lundi 24 janvier 2011

Définition du mouvement par GG

"Le Nimportkoïsme, selon moi, est l'acceptation parfois dérisoire de son propre mouvement innopinément lancé. Il équivaut à un respect mutuel entre les membres le composant, et correspond à l'annonciation de son propre sens au monde environnant.
Le passé, le présent, le futur, l'imparfait, sont autant de choses admises dans le Nimportkoïsme, que d'autres incontextuellement transmises. Ainsi, chaque apport du mouvement se doit de conserver une part immaculée d'importante conception innimaginable. Si cela n'est pas fait, bien qu'il soit possible d'en jouer, la grandeur portée au sujet est servie en fonction de sa réalisation, sans pour autant briser le serment non-agressif que se sont indirectement transmis les membres.
Qu'à cela ne tienne, chacuns reste libre de ses actes et pensées, c'est donc dans ce sens que tout individu se peut de juger dûrement ou non la création d'autrui. Mais dans ce cas, les regards convergeront-ils toujours dans le même sens à la reprise des esprits?

Pour ma part, le N'importkoïsme est cela, et rien ne peut entraver ma perception de ce mouvement. "Liberté", "Respect", "Acceptation", "Indétermination", sont autant de mots clés permettant de définir le Nimportkoïsme à mes yeux, bien que chaque chose se doit parfois malheureusement d'être possiblement dérivable."

Gérard Groux.

Biographie d'un Grand

Gérard Groux, aussi connu sous le nom de Gégé (GG), est un écrivain conceptuel des temps modernes né en 1902 et mort en 1991. Sa modestie est en relation avec sa mise en situation.
C'est de son vivant que GG aura produit le plus d'oeuvres, autant littéraires, photographiques, que picturales. Car c'est effectivement à diverses domaines que cet artistique talentueux aura étendu son champ d'action. Ainsi, rien dans la création n'aura laissé son sens affectif à l'ignorance.
Et comme Groux l'eu si bien dit : "Il n'en serait point d'émoi que j'en verrai de ceux-là".


-Un Passé bien incertain

C'est aux alentours des années 1788 que le petit Jean-Jacques Dubeauchoix naquis pour la première fois. Fils d'une mère alcoolique et d'un père récéptif, Jean-Jacques dû bien vite se prendre en main, seul.
C'est alors dans les années 1789 que l'enfant se retirera de son domicile conjugual pour aller se loger aux "Saints lieux de Georges Marqué", refuge religieux pour délinquants juvénilements aphrodisiaques. Jean-Jacques recevra en ce lieu son premier attouchement zoophile, et apprendra les rites et procréations de la religion "Saintouïste".
Forgeant son caractère au fil des années, le petit garçon grandit et décida de voler de ses propres aîles à 14 ans. Son Maître, "Andréal Eussidat", finira par le laisser partir après de tristes et longs adieux.

"Je serais Paul Gérard ou rien " sera la phrase impulsivement retrouvée dans ses notes Culturelles après son dépard, en 1643. C'est là que les différents éducateurs de Jean-Jacques comprendront que l'enfant était dès sa naissance voué à réaliser de grandes choses.
C'est à 27 ans que Dubeauchoix sortira son premier livre : "Décisions à contre-jour".
Cette perle rare le restera néanmoins, sans connaître de suite à son succès.

La mésaventure et la déception causées par l'inacceptation de son oeuvre, Jean-Jacques ne tardera pas à pencher dans l'alcool, tout en prenant soin de ne pas mettre un terme à sa carrière.
C'est alors sous cette emprise que l'homme vint à se marrier avec un Hermaphrodite en 1814, fondant ainsi une famille de 3 enfants, et fit paraître deux autres livres : "Amour amour" (1745) et "Amour un jour" (1746).

C'est suite au scandale provoqué par la sortie de ces deux ouvrages que Jean-Jacques se retrouva égorgé puis torturé à mort, avant d'être jeté en prison. Là, il clamera son innocence quand au fait que la marrée ascendante n'aura jamais été de son innovation. Jusqu'au jour où arriva un homme qui changera son destin à jamais.
Cet homme, c'était "Lilou le fou". Payant une forte caution afin de libérer Dubeauchoix de prison, tout deux vinrent par la suite à se recueillir dans un café dans l'optique de discuter et agrémenter leur position.
Lilou décéda deux heures plus tard, poignardé par Jean-Jacques Dubeauchoix. Bien que s'étant passé sous ses yeux, la scène n'avait pas l'air d'avoir éffleuré l'attention du gérant. C'est devant la police institutionnelle que celui-ci dira : "Ils s'étaient disputés, choses habituelles par ici, voyez? C'est alors que l'un d'eux a commencé à proférer des menaces de mort, comme souvent qu'ça arrive, voyez? Et puis, bah l'autre a finis par lui planter son couteau de cuisine dans le thorax. C'est pas la première fois que ça s'produit, voyez, et j'était en plein sauvetage étouffant de moi même, voyez? On peut pas être partout en même temps, voyez?"
Aucune poursuite n'aura été faite envers cet homme. Quand à Jean-Jacques Dubeauchoix, son apparence suivi au gré de son existence.


C'est cet homme, Jean-Jacques Dubeauchoix, qui aura servi de modèle au jeune Gérard Groux toute son enfance. Sa mère lui répétera souvent "Ne fait pas l'idiot si tu ne veux pas finir comme Dubeauchoix", tandit que son père clamera à chaques imprudences "Mon Dieu, cesse de faire ton Dubeauchoix !".

Gérard Groux est donc un humain de sexe masculin, né aux alentours du Vendredi 25 Juin 1902 et mort en 1991. Vivant en milieu urbain, c'est à l'âge de 4 ans qu'il apprend à marcher des pieds, tout en parlant le caribou. Cette langue nouvellement apprise fera courir la rumeur comme quoi le jeune GG avait pour occupation d'ingurgiter diverses sortes de Caoutchouc, chose à laquelle il réfuta toute accusations au long de sa vie.
Groux n'était néanmoins pas un élève modèle. Ses notes à l'école, ainsi que ses résultats d'ergonomie planerons vers la bassesse réabilitable. Madame Salupe, sa directrice principale, affirmera à ses parents que l'enfant ne pourrait percer dans le monde des "Grands".
Mais tant qu'il s'en fut, le petit Gérard préféra ne pas préter attention aux discours grandiloquants de sa directrice intolérablement faible, et resta dans son domaine féérique prônant la machination angélique.

Mais le coût revenant à la galvanisation des fraits liés aux activités de Groux ne tarderons pas à atteindre des sommets inopinés de francs marsupiens, et les parents du fils devront s'habituer à se serrer le pantalon. Ainsi, Gérard Groux n'aura jamais de fraterie.

C'est en 1912 que GG quittera définitivement l'école, pour s'alouer à une personnification de son âme. Là, il commencera à se découvrir une passion pour l'écriture.
Aidé par un Chaman, et mené par un Sage, Gérard Groux apprendra les rites et les forces soumises de la puissance, jusqu'en 1919. C'est durant cette période que l'écrivain écrira ses premiers textes qui constituerons une partie de son livre "Oeuvre Genèse", sortit en 1920.
Gérard Groux commence alors à percer dans l'art conceptuel.


-Un début de carrière littéralement mythique, et une rencontre innopinée ( 1920-1930 )

Après une septaine d'années de premières ébauches personnelles, Gérard Groux, ( alors âgé de seulement 18 ans ) sortira au cours de l'année 1920 son premier recueil d'idées et de citations personnellements exprimées. Cet ouvrage portera pour nom "Oeuvre Genèse", et comprendra en lui même deux grandes parties rédigés : "Questionnement sur la vie" et "Définition du domaine Capital".
Autant dire que le partage entre philosophie culturelle et politique externe rassemblée en un seul recueil, dans le feu des événements de lépoque, fera connaître Gérard Groux dès sa première parution.

C'est alors en gravant les échelons vers le succès que le jeune Gérard sortira un nouveau livre en 1922 : "La tirade de printemps". Cet ouvrage réprimera son aversion aux scientologies diverses, et Groux y fera même allusion à Jean-Jacques Dubeauchoix dans certaines de ses phrases, tel que : "Gloire et Galvanisation envers la personne qui répond au mieux aux paroles d'innopinés incompétents."

La période allant de 1920 à 1930 sera celle où GG produira surtout autour des thèmes expressifs de l'époque, tel que la mondialisation économique globale, l'ergonomie des temps anciens, ou encore le comportement des divinitées communes ( chose décrite dans "Explication de la folie" en 1929 ). Les ouvrages et recueils ne cesserons de sortir au fil des ans, assurant ainsi sa réputation mondiale au niveau local sans pour autant commercialiser son art.

Mais la vie active de Gérard Groux ne peut être racontée sans y souligner un événement extrèmement important. Evénement qui fera partie intégrante du vivant de l'artiste, que celui-ci l'ai voulu ou non. Cet élément, crucialement inoubliable, est la rencontre entre Gérard Groux et Michel Dubrin en 1923.

C'est donc durant une montée en puissance d'un certain Groux, que celui-ci croisera le chemin d'un autre homme, alors peu expérimenté dans l'art mais gardant pourtant une volonté de fer à s'y tenir : Michel Dubrin.
Les deux personnages partagerons dès lors une longue et solide amitiée qui durera trois ans. C'est durant cette période ( allant de 1923 à 1926 ) que les jeunes gens profiterons de l'assemblage des deux génies pour sortir en masse périodique livres et oeuvres d'art diverses.

Hélas, c'est dès l'année 1925 que des tensions apparaissent entre les écrivains. Gérard Groux souhaitait rester fidèle à sa bonté et contenir sa sagesse dans l'apport de culture et réfléxion aux lecteurs curieux, tandis que Michel Dubrin tournait son esprit vers l'aspect économique de l'art.
C'est dès la sortie de l'oeuvre picturale "Nous étions frères" de Michel Dubrin en 1925 que des questions inquiètes se posèrent sur les lèvres du public Groux-Dubrin. Et c'est lorsque, en 1926, Gérard Groux répondra par le tableau "OUI, MAIS J'AI APPRIS" que l'officialisation de leur rupture se fera annoncer dans les journaux, et que les fans verront leurs pires craintes réellement exécutées.
Ceux-ci se verront alors séparés en deux groupes : le peuple communautaire et compréhensible constituant les adulateurs de Groux, et la majorité condescendante manipulée formant les conspirateurs de Dubrin.

"Fous rires et garanties furent nos lots de succès personnels lorsque nous étions encore liés par la fraterie". Gérard Groux, annonce dans le journal "L'annuel" après sa séparation avec Michel Dubrin.


-Une suite ne freinant pas la gloire ( 1930-1960 )

C'est donc après l'année 1926 que Gérard Groux reprendra une carrière solitaire, désormais séparé de son vieil amis Michel Dubrin. Durant la période laxiste de mélancolie, ce sera tant Groux que Dubrin qui produiront sans oublier l'absence de l'autre. Pour GG tout au moins, l'intensification qualitative de ses sorties littéraires ne s'en verrons pas moins démesurées.

Ainsi, le talentueux écrivain commencera à prendre certaines voies spécifiques au niveau de sa lancée. Un de ses choix périodiques et continuel sera un intéressement attaché à la vigoureuse nature qu'est notre mère à tous.
C'est alors que Gérard sortira un livre fabuleusement instructif en 1932 : "Défense de la végétalo-culture", où il y citera diverses intentions mégalomanes et fourbes qu'aura durant tout temps provoqué l'humain à travers sa conception innexistante des préservations antiques. Malgré divers questionnements et intrigues perçues à travers les lecteurs ayant analysés soigneusement l'oeuvre, Groux certifiera à travers divers discours et textes ultérieurs qu'il n'est attaché à aucune religion.

Mais c'est à partir de 1934 que l'artiste devra faire face à un fait nouveau dans sa carrière : la réapparition indirecte de Dubrin dans sa vie, et sous une autre forme.
C'est en effet cette année que, à la surprise de tous, Michel sortira un livre quelque peu suspicieux s'intitulant "La mort de Gérard Groux".
Peurs et angoisses passées, les fans de Groux se rendront bien vite compte que cet ouvrage n'est qu'uniquement destiné à l'ex-amis de Dubrin, qui recensera une haine indeffectible de l'auteur jusqu'à présent camouflée par sa déception passée.
Dans "La mort de Gérard Groux", divers propos et arguments diffamatoires envers la cible seront explicités. Bien évidemment, la population "Grouxienne" sera consciente que la plupart de ces dires ne peuvent être pleinements fondés, et que l'imagination nourrie de rage de l'auteur semble être à l'origine de ces avancements.

C'est après avoir tristement assimilé le dérapage dérisoire de son ancien amis que Gérard Groux décidera de rétorquer par le livre intitulé "Le vivant de Michel" en 1936. Mais tandis que l'oeuvre de Dubrin ne contenait que gratuites attaques et fourbes piques facilement lancés, celle de Groux comportera uniquement une large analyse constructive de son ancien compagnon littéraire, tout en apportant réfutations de certains faits faussements annoncés par Dubrin.

Alors qu'à la suite de cette période troublement lancée Gérard Groux s'en remettra à son ascenssion saine et régulatrice, Michel Dubrin décidera de ne pas s'en arrêter là. Au contraire, la quasi-totalité du restant de sa vie ne sera guidée que par une volonté solidement croissante d'entraver celle de son ancien "frère". C'est de cette façon qu'il en viendra à faire parfois de terribles choix, tel que se ranger aux côtés du partit nazis durant la seconde guerre mondiale, alors que Groux aura dès le plus tôt rejoins les rangs de la résistance.
Cette période sera d'ailleurs rongée par une vague d'attaques personnelles de Michel Dubrin envers Gérard Groux, auxquelles celui-ci répondra en les destinant au fascisme en général. La guerre est à ce moment autant dans les corps que dans les esprits pour les deux écrivains.

Malgré le camp dans lequel figurera Dubrin pendant la guerre, celui-ci ne sera pas condamné, ouvrant débats et polémiques au sujet des protections artistiques antérieurement rénovées. Selon certaines rumeurs, Groux, pleinement contre la peine de mort ( et peut être serait-ce une suffisante raison ), serait à l'origine du passage sous silence des faits et gestes de son ancien amis ( bien qu'il se déstituera de toute réponse et préférera adopter mutisme constant lorsque le troublant sujet sera abordé, et bien que Dubrin ne portera jamais aucune importance à cette généreuse possibilité ).

Lorsqu'en émoi le monde se caractérisera par un temps incongru de guerres et d'innopinés echecs pour l'éspèce humaine, Gérard Groux sortira ce qu'il a en sorte composé de ses propres compassions.
Pour ainsi marquer le coup, et provoquer une cassure dans son domaine trivial, l'homme d'âge modéré sortira en 1952 (soit 50 ans après sa naissance ) un recueil reformulant et caractérisant sa propre vie. Il s'agit bien sûr là de l'"Oeuvre inouïe de la Puissance".
Ce fabuleux bouquin retracera toute l'existence de l'auteur en premier temps ( tel une fidèle auto-biographie ), et expliquera ensuite les recherches et expérimentations réalisées par GG sur le domaine de la Force ( faisant ainsi référence à sa jeunesse instructive ).
Nombreux sujets se rattacherons à ce livre, sujets que Gérard Groux aura défendu tout au long de sa vie et qu'il croira juste. Avec "Oeuvre Genèse", "Oeuvre inouïe de la Puissance" sera l'un des titres populaires les mieux placés dans la vie de l'écrivain.

Mais Gérard Groux n'aura jamais compté s'arrêter sur un résumé intuitif de son périple jusqu'à présent.
Et c'est, tout en devant répondre aux insomniaques préoccupations de Michel Dubrin ainsi qu'aux attentes véridiques de son restreint et fiable public, que Groux se découvrira un nouveau domaine de prédilection sortant au grand jour : la musique.


-Gérard dans la musique

C'est avec l'arrivée des grands que Gérard Groux se verra attiré vers ce merveilleux domaine qu'est la retranscription d'ondes sonores, le plus souvent agréables à l'ouïe.
GG ne fera dans un premier temps que s'instruire de tous ces sons parvenant à lui, tant au niveau local que rural. Il en viendra ainsi à connaître les grands groupes et chanteurs faisant leur apparition de leur temps.

Groux sortira alors diverses oeuvres littéraires contenant puissantes poésies et douces allégations. Les sujets s'en iront du grand thème sentationnel, qu'est l'amour, au fort taux de faiblesse infantile dans le monde.
"La tirade de Printemps" ( 1962 ) fait partie de ces oeuvres. Que dire de son attirante résistance à la propagation aux insultes? De son fait indésiré envers l'abnégation raciale?
Rien, pas même Michel Dubrin, ne réussira à détruire la flamme ventilée résidant au fin fond de Gérard Groux à ce moment.

"La miraculeuse santé est fortuite face aux péripéties que je vis en ce moment."

Cette phrase sera l'une des nombreuses y figurant dans sa série littéraire en ce temps, décrivant alors son état d'euphorie vis à vis de lui même.

Gérard Groux n'hésitera pas non plus à se lancer dans le vif du sujet, au coeur des notes et du côté musical de la vie. Son expérimentation dans le domaine en ravira plus d'un, et en guise de notoriété faussée, Dubrin ne se résoudra pas à ne guère contredire intensément les révolutions originales de Groux. Au contraire, il le fera dans une possibilité certaine.

Cette phase d'empathie vis à vis de l'espoir suivra l'artiste jusqu'au bout de sa vie, et perpétuera sa volonté d'accroître son bien être ainsi que celui d'autrui.


-La continuité d'un Mythe

C'est vers la fin de sa vie que Gérard Groux, tout en continuant sa carrière riche en valeur, se tournera plus intensément vers les dons d'admirations. Il fera alors l'éloge de toutes choses qu'il aura apprécié jusqu'à ces moments, ainsi que de celles qui ne cessèrent de susciter son admiration.

Il sortira de ce fait divers ouvrages, tel que le célèbre "Ellucidation d'un bon", déstiné en faveur de Pierre Billon en 1986.

Cette période sera celle où son public verra au mieux ce à quoi l'homme bénéficiait du mérite. De nombreuses tirades peuvent être ainsi citées, comme :

"L'euphorie interne du mécontentement est externe aux primordiaux changements."
Gérard Groux.

"Demander une réponse sans question reviens à exiger un honneur sans talent."
Gérard Groux.

"C'est lorsqu'ils ne sont plus avec nous que les autres pleurent la vertu de leurs pensées.
Mais est-ce une solution envers ceux que nous avons de tout temps adulés?"
Gérard Groux.

"L'intolérance fortuite due aux péripéties de notre temps s'en va désormais échelonner l'arabesque des Grands".
Gérard Groux.



-La fin de l'après commencement

C'est hélas aux confins de 1991 que le grand Gérard Groux nous quitte. Physiquement et corporellement, son existence s'éteint d'un trait, un seul.
Mais personne ne connaît les véritables raisons de sa mort. Certains affirmerons avoir vu son âme s'envoler de chez lui, emmennée par les anges, tandis que d'autres s'en verrons restrains à confirmer l'acceptation de sa disparition en ce monde.
Les plus impliqués arriverons même à la théorie du meurtre, et pousserons une piste jusqu'à son rival de quasi-toujours : Michel Dubrin.
Mais, comme l'aura si bien dit Groux de son vivant : "La prospérité de notre âme en serait sans cesse démeusurée si chaques fois elle se voyait troublée par un fait désabusé."
Ainsi, quoi qu'il en soit, le célèbre artiste aura bel et bien quitté ce monde pour toujours, en l'an 1991. Mais à jamais sa riche continuité honnorifique ne pourra être oublié, et à toujours Gérard Groux résidera dans nos coeurs.




Biographie rédigée par Babou Boubou ( 1817 ), en Décembre 2010 - Janvier 2011.

mardi 14 décembre 2010

Le Cloch'Art (ou Pique-assaut/Pique-assiette.)
Extrait de "Mémoire d'un outre-temps", Jean Louis J., 1932

lundi 13 décembre 2010

Extrait de "Un vent dû", Jean Louis J., 1936
Inspiré par l'amuse Ode-Île Mince, attends.


Extrait de "Mémoire d'un outre-temps", Jean Louis J., 1932

Cette œuvre fut, d'après un des rares témoignages de Jean-Louis Jacquefils,
une reconstitution d'un souvenir son enfance, lorsque ses deux grands maitres penseurs , Gérard Groux et Michel Dubrin brisèrent leur relations, d'après J. L, pour un conflit de pomme de terre. Si les éléments restes flous, J.L. affirme que la reproduction est exacte et qu'ils n'était pas en digestion de stupéfiant lors de son assistance à cette scène hystérique.